O Almirante denuncia.

Quels intérêts concernent les Indiens de l'Amazonie?

MAFIA anglo-saxon NATIVE Parmi Xeruã, un affluent de Juruá et Cuniuá, affluents Tapauá (pour son affluent le temps de la Purus), une zone située à plus de 1000 km de Manaus, droite, vivent 361 indigènes brésiliens tribu "" Deni "(selon les données de l'annuaire statistique du Brésil, IBGE, 1997). utilisant les mêmes "critères métaphysiques» qui ont abouti à l'octroi de 9.664.975 hectares pour accueillir 6706 "Yanomami", nos frères de la tribu "Deni" ont été portions d'une superficie de 998 400 hectares pour son usage exclusif. s'avère que, jusqu'à présent, ce livre extraordinaire n'a jamais été délimitée, probablement en raison du manque de ressources financières à la tâche. Selon de nouvelles arrivées de Manaus, la foresterie "Deni "fatigué d'attendre l'action du gouvernement, a décidé unilatéralement délimiter leurs terres, a déclaré mesure 1,53 million d'hectares, y compris parce qu'ils se sentent menacés par le bois" Bienvenue à la maternelle », la Malaisie, et sa filiale" "Amaplac brésilienne, qui, ensemble, acquis 313 000 hectares de superficie, dont 150 000 dans la réserve revendiquée par la tribu. Manquant d'expérience pour effectuer physiquement la démarcation, la "Deni" a demandé une organisation étrangère gouvernementale d'aide, "Greenpeace", célèbre pour s'ingérer dans les affaires d'autres pays, tout en gardant les yeux fermés pour les excès commis par leur pays d'origine. démarcations Pour intervenir dans le navire "Arctic Sunrise", le "Greenpeace", amarré à Manaus le 9 Septembre, où suspendues . 20 du même mois, exigeant la zone où le "Deni" à bord du navire étranger Voyage de Haku Varashadeni le chef de la tribu en question, les responsables de la "Coordination des organisations indigènes de l'Amazonie brésilienne - COIAB« représentants »du Conseil indigène missionnaire - CIMI »et« Opération natif Amazon - OPAN ", tous réunis pour soutenir l'action des« anglo-saxons Mafia indigènes ", un segment de la« Green mafia "qui agit pour promouvoir la haine chez les Canadiens . d', mais les pays en développement riches en ressources naturelles intéressant de répéter les paroles du Seigneur Nilo d'Avila, le "Greenpeace", responsable de "projet Deni» «Le gouvernement de Singapour a manqué à l'engagement constitutionnel de délimiter tous les territoires indigènes au Brésil .. que 1993 Il est de notre devoir à tous de soutenir la lutte de "Deni" et d'autres peuples autochtones à préserver leurs terres et de la culture traditionnelle " Face à tant d'insolence, il est juste de demander: - Où se cache la notion de souveraineté est difficile ces le néolibéralisme montagnard? - Y at-il plus d'autorité au Brésil, capable d'empêcher l'incursion des corsaires ennemis et l'intérieur du pays, dans les eaux relevant de la souveraineté exclusive du Brésil, pour encourager les sentiments séparatistes? - Elle est valable d'autoriser la vente propriétés rurales pour les entreprises étrangères qui ont détruit la moitié des forêts tropicales d'Asie, et maintenant ils sont prêts à répéter l'exploit en Amazonie brésilienne? là se manifeste la différence abyssale entre la procédure de "citoyens du monde" de simples représentants de l '«Empire» au Brésil, et les nationalistes, c'est à dire, ceux qui donnent la priorité à tout ce qui est bon pour la nation à laquelle il appartient.pensée nationaliste était celui du père Antonio Vieira, quand il a remarqué la gentillesse Tamoios dans rapport aux envahisseurs français. Il montre bientôt les indigènes qu'ils «ne veulent pas de notre droit, mais nos produits." l'attitude nationaliste était celui de deuxième président de caoutchouc Ceara Eduardo Nogueira «Cabano» de Grand-Para, à repousser, avec véhémence, l' proposition inique pour officier anglais, commandant d'une force navale, par "coïncidence" ancré dans la baie de Guajará off à Bethléem pour proclamer l'indépendance de l'Amazonie, sous la protection de l'Angleterre, bénéficierait de la direction du nouvel état . La réponse a été courte et angelim sec: «ne jamais trahir mon pays et never'll changer le nom d'un citoyen brésilien, avec qui je me sens anobli."réaction nationaliste était celui du président Floriano Peixoto lorsqu'il est interrogé par un représentant de la «Corps diplomatique «Comment recevoir les débarquements de petits contingent étranger à Rio de Janeiro, pour protéger ses ressortissants contre les risques qui peuvent être sensibles en raison de la" révolte de l'Armada ". "pour le point!" répondit le d'Alagoas bonne humeur! Cela aurait été la réponse du ministère des Affaires étrangères, assisté par le ministère de la Défense, l'application de la "Greenpeace" pour naviguer dans leurs eaux intérieures, quelles que soient les revendications d'une telle incursion. telle aurait été la réponse de responsable des terres sur la simple tentative d'acquérir étendues de terres par des étrangers de questions malveillants. Surtout dans le reste inhabitée Amazon.jour viendra, cependant, que tous les nationalistes sont alignés sur le même côté du Père Antonio Vieira, président de la «Cabano», le «Grand-Para," Eduardo Nogueira angelim, Marechal Floriano Peixoto et bien d'autres noms aussi illustres "qui par leurs actes de bravoure de la loi seront libérant la mort." Lorsque cette union se produit, tous les «changeurs Homeland" sera dûment defenestrados les hauteurs dominantes qui occupent. Par la suite, seront inversés, la direction adoptée pour la conduite des affaires d'État et personne d'autre ici, osent conspirer contre le peuple et l'Etat brésilien. "Brésil surtout sous la protection de Dieu!"


SILVA ROBERTO GAMA et l'amiral à la retraite Président de "Comité exécutif national provisoire" Parti nationaliste démocratique Rio de Janeiro, le 4 Octobre 2001, 

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